Les planteurs camerounais ont-ils été réévalués ?
La dévaluation du 11 janvier 1994 ne visait pas particulièrement les planteurs de café et de cacao. Si les prix au producteur ont subi la hausse mécanique attendue au Cameroun, ils n'en sont pas devenus pour autant très incitatifs pour des producteurs dépendants de ces cultures et très endettés...
Guardado en:
| Autores principales: | , |
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| Formato: | text |
| Lenguaje: | FR |
| Publicado: |
1994
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| Materias: | |
| Acceso en línea: | http://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:39938 http://biblioteca.clacso.edu.ar/gsdl/cgi-bin/library.cgi?a=d&c=fr/fr-001&d=39938oai |
| Aporte de: |
| Sumario: | La dévaluation du 11 janvier 1994 ne visait pas particulièrement les planteurs de café et de cacao. Si les prix au producteur ont subi la hausse mécanique attendue au Cameroun, ils n'en sont pas devenus pour autant très incitatifs pour des producteurs dépendants de ces cultures et très endettés. La cherté des intrants importés constitue le premier goulot d'étranglement. Le manque de visibilité sur l'avenir rend les planteurs prudents et l'amélioration durable des prix les inciteraient à étendre plus qu'à régénérer leurs vergers. La dévaluation ne peut se substituer à des politiques agricole ou sociale... . (Résumé d'auteur) |
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