Optimum économique et équilibre écologique : quelques réflexions
Après une introduction faisant ressortir les déséquilibres écologiques auxquels participe le modèle de production de l'agriculture, le papier développe l'idée du remplacement de la maximisation du profit et de l'avantage social net par la minimisation du risque écologique dans le cadr...
Guardado en:
| Autor principal: | |
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| Formato: | text |
| Lenguaje: | FR |
| Publicado: |
DIAL
1991
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| Materias: | |
| Acceso en línea: | http://www.documentation.ird.fr/hor/fdi:34508 http://biblioteca.clacso.edu.ar/gsdl/cgi-bin/library.cgi?a=d&c=fr/fr-001&d=34508oai |
| Aporte de: |
| Sumario: | Après une introduction faisant ressortir les déséquilibres écologiques auxquels participe le modèle de production de l'agriculture, le papier développe l'idée du remplacement de la maximisation du profit et de l'avantage social net par la minimisation du risque écologique dans le cadre d'une conception de l'homme envisageant celui-ci comme un système naturel à l'instar d'une plante, d'un ver de terre etc..., mais à finalités spécifiques. Minimaliser le risque écologique revient alors à minimiser que le risque du système humain soit lié à son fonctionnement. L'écologie selon notre conception est une remise en cause de la validité du paradigme de la physique newtonienne dans les sciences sociales. Elle se situe dans la mouvance de la révolution ouverte en physique par la théorie des quanta et de la relativité d'Einstein, de la relativité complexe de J. Charon. Son objet d'étude est ainsi l'interaction de systèmes dynamiques, observés et pensés. La conclusion est que l'écologie est un défi majeur à l'économie qui dirige les démocraties. (Résumé d'auteur) |
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